Je crée des photographies artistiques vendues sous la forme de véritables tirages d’art signés, numérotés et limités à 30 exemplaires maximum, accompagnés de leurs certificats d’authentification.
DE LA MÉLANCOLIE, À LA LUMIÈRE !
J’ai découvert la photographie à l’âge de onze ans, dans le club de mon établissement scolaire. Mon intérêt pour cette discipline grandi et j’eu un premier coup de cœur, à la découverte des travaux d’Henri Cartier-Bresson. Rapidement, je souhaitai en faire mon métier. Mais mes rêves furent contrariés. Mes parents refusèrent que j’intègre un CAP photo et mon entourage me décourageait, me répétant que l’on ne pouvait vivre de la photographie. Aussi, j’étais adolescent et le coût relativement élevé de la photographie argentique me limitait dans mes expérimentations. J’abandonnais donc mes rêves…
…pour finalement y revenir, bien des années plus tard, la flamme amoindrie mais toujours présente. J’achetai mon premier boitier numérique et intégrai le BTS photographie. A mon entrée dans l’école, j’étais fasciné par le travail de James Nachtwey. A mes yeux, la photographie de guerre représentait les « lettres de noblesse » de la discipline, la meilleure manière de la pratiquer. Je me rendis néanmoins compte que je n’avais pas le sang-froid nécessaire pour exercer cette spécialité. Puis, j’eu un énième choc en découvrant la série Seascapes d’Hiroshi Sugimoto. La transgression des règles de composition, le minimalisme, le propos de l’artiste. Il y avait là, à la fois si peu à contempler et pourtant tout à offrir à qui en serait touché dans le coeur. Fasciné par ces paysages marins, je cessais dès lors de considérer la photographie artistique comme superflux.
Durant mes études, j’avais soif de comprendre le monde et son fonctionnement. Ma curiosité me poussait à m’intéresser à l’actualité française et internationale. Je pris alors conscience de la part sombre de l’humanité dans tous les pans de nos sociétés : corruption politique, pollution des industriels, génocides, esclavage moderne et autres injustices. L’utopiste que j’étais voulait sauver le monde mais je me sentais impuissant. Aussi, mon quotidien ne me convenait pas et je me posais des questions existentielles sans y trouver réponse. Les modes de vies alternatifs – à l’instar des gens vivant dans des yourtes ou en communautés – m’intéressaient particulièrement et je voulais en faire mon thème d’étude. Mais impossible à réaliser, faute de moyens financiers. Mes préoccupations et tourments me plongèrent alors dans une insidieuse et profonde mélancolie, qui devint malgré moi, mon sujet d’étude. Je découvris la série Grief de l’artiste Erwin Olaf, notamment le portrait d’Irène, une sensibilité à fleur de peau qui m’émut incommensurablement et fit écho à mes émotions.
En même temps que je broyais du noir, je savais que la vie avait mieux à offrir. Un an plus tard, je m’essayais à la vidéo dans le cadre de ma licence et proposais d’interviewer des individus afin de savoir quelles étaient leurs définitions du bonheur. Ce projet suscita l’enthousiasme de mes camarades et l’on comprit vite que la recette du bonheur était propre à chacun. A force de lectures et d’exercices de développement personnel, d’introspection et de travail sur moi-même, je finis par sortir durablement de cet état de mélancolie et ressenti des moments de joie intenses. Jusqu’à connaitre des expériences physiques et spirituelles bouleversantes, aux travers de soins, de rêves extra-ordinaires, de méditations et par la perception des signes de la vie. Le mélancolique n’était plus. Et un nouveau coup de cœur pour les travaux du talentueux Rayan McGinley m’apporta joie et légèreté nécessaires.
Issu d’une famille modeste confrontée à bien des déboires, j’ai sauvé ma flamme au-delà des difficultés et je reste un utopiste dans l’âme. Diplômé et après quelques années de jobs alimentaires, je suis devenu photographe-vidéaste au sein de la Métropole Européenne de Lille, collectivité employant 3000 personnes. L’occasion rêvée d’apprendre la vidéo sur le terrain. Aussi, cette expérience de trois années a été un tremplin vers la suivante. Je suis aujourd’hui le photographe du Centre Hospitalier Universitaire de Lille – classé deuxième meilleur hôpital de France par le magazine Le Point, employant 16000 personnes – et en appuie de mes collègues community manager et vidéaste sur la partie vidéo. Preuve en est que l’image, au-delà d’une passion, n’est pas qu’un loisir mais aussi un métier. En résumé, mon message pourrait être le suivant : « Croyez en vos rêves ! », tout simplement. Mon expérience au CHU de Lille est enrichissante sur le plan technique, créatif, de l’autonomie mais aussi et surtout, sur le plan humain. J’ai plaisir à rencontrer et à valoriser patients et professionnels aux métiers divers et variés, impliqués dans une mission commune : offrir un service public d’intérêt général de qualité. Fort de ces expériences et tout en conservant mon statut de fonctionnaire sur le poste de photographe, je me lance en parallèle, dans une activité de photographe-vidéaste indépendant. Enfin, je rêve de pouvoir à moyen terme, me concentrer davantage sur la production de séries artistiques, la pratique des arts martiaux (wing chun) et l’apprentissage de la musique (batterie), ma seconde passion mise de côté ! Un difficile jeu d’équilibriste, à la recherche d’argent et de temps libre.
J’aurais pu faire plus, j’aurais pu faire mieux. Qu’importe, hier n’existe plus. Seul le présent compte. J’ai appris à me connaitre, à aimer la vie. La photographie y participe. A présent je veux contribuer et je rejoins David Viscott : « Le but de la vie est de découvrir votre don. Le travail d’une vie est de le développer. Le sens de la vie est de le partager. » Mon crédot d’utopiste ? Devenir un photographe de la beauté, des émotions, de la poésie et du sacré ; employer le symbolisme par la lumière, les couleurs, les formes et l’esthétique épurée, pour donner sens et suggérer l’existence du Divin dans la magie de l’univers ; inspiré par la nature, les femmes, les animaux, influencé par la musique et la spiritualité, et animé d’un profond désir de liberté ; en faveur de l’éveil des consciences, par la promotion du bien-être individuel et collectif, pour un humanisme dans le respect de soi, de la terre mère et des générations futures.
À propos de la création artistique et du futur de l’humanité, il semblerait que l’homme ait cette faculté incommensurable d’imaginer le pire, de s’y projeter avec un malin plaisir, comme en témoigne la multiplication des films post-apocalyptiques. Mais quelle place reste-t-il aux rêveurs et aux utopistes ? Ne devrions nous pas l’être tous à notre façon afin d’insuffler un changement porteur d’espoir ? Si l’art ne doit pas obligatoirement être beau, j’aime qu’il le soit. C’est en ce sens que je travaille actuellement sur une nouvelle série artistique intitulée « De la mélancolie, à la lumière ! ».
Bien sûr, force est de constater que la vie nous impose à tous, son lot de difficultés, d’épreuves, voir de fardeaux. En cela et afin de me dépasser et de m’améliorer en tant qu’individu, je me nourri des paroles de mon mentor David Goggins, dont le parcours de vie résonne en moi.
Je terminerai par cette citation du film American beauty qui résume à elle seule, ma vision de l’art et de la vie : « C’était une de ces journées grises où il va se mettre à neiger d’une minute à l’autre et qu’il y a comme de l’électricité dans l’air. Tu peux presque l’entendre, tu vois ? Et ce sac était là, en train de danser avec moi, comme un enfant qui m’invitait à jouer avec lui. Pendant 15 minutes. C’est là que j’ai compris qu’il y avait autre chose, au delà de l’univers, plus loin que la vie. Je sentais cette force incroyablement bienveillante qui me disait qu’il n’y a aucune raison d’avoir peur. Jamais ! Sortie du contexte les images n’ont aucun sens je sais mais… ça m’aide à m’en souvenir, j’ai besoin de m’en souvenir. Et parfois je me dis qu’il y a tant de beauté dans le monde que s’en est insoutenable. Et mon cœur est sur le point de s’abandonner. »
Gratitude.
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DES TIRAGES ET ENCADREMENTS DE QUALITÉ
J’ai choisi pour vous et avec le plus grand soin, des prestataires de confiance afin d’assurer la qualité des tirages et encadrements et ainsi, la mise en valeur et la pérennité des œuvres. Parmi mes fournisseurs :
Papier Filtre, un laboratoire situé à Lille et fondé par mes anciens patrons, des entrepreneurs inspirants ! J’apprécie l’équipe disponible et chaleureuse, passionnée et compétente.
White Wall, un laboratoire allemand qui travaille pour 380 galeries internationales, plus de 20000 photographes professionnels et de grandes entreprises. Ils proposent un large choix de finitions, utilisent des matériaux de qualité et leur savoir-faire est reconnu à l’international.
EN ÉDITION ULTRA-LIMITÉE
Les photographies artistiques mises en vente sont d’authentiques œuvres d’art signées, numérotées, produites en 30 exemplaires maximum sous le contrôle du photographe et livrées avec un certificat d’authentification, conformément à la définition d’œuvre d’art photographique selon le législation française.
UNE AUTRE SELECTION DE TIRAGES GRANDS PUBLICS À PETITS PRIX
Afin de permettre au plus grand nombre de pouvoir s’offrir un tirage photographique, je propose une autre sélection de photographies à petits prix. Ce sont des images complétement différentes. Aussi, elles sont signées. En revanche, elles sont produites avec des matériaux moins nobles et vendues en quantité illimitée.